La bourse… ou la vie ?

Les étudiants de niveau universitaire savent ce qu’ils veulent : de l’argent.

Selon une enquête menée par le Conseil américain sur l’éducation en 1987 : 75 % de 200 000 étudiants de première année d’université qui ont participé à l’enquête pensaient que d’être à l’aise financièrement est soit un but « essentiel » ou un but « très important ». Et 71 % ont déclaré que la raison principale pour laquelle ils allaient à l’université était pour obtenir des emplois mieux rémunérés une fois qu’ils détiendraient leur diplôme.

Encore une chose : le pourcentage d’étudiants qui pensaient qu’il était important de développer une philosophie de la vie significative était au taux le plus bas jamais atteint : 39 %.

Pour une génération élevée dans le matérialisme non réprimé, l’argent, c’est la vie.

Etant donné que l’on pense que le bonheur découle de belles voitures, de maisons élégantes et de vêtements coûteux, on a de la difficulté à accepter la déclaration de Jésus : « la vie est plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement. »

Mais avant de les critiquer, nous devrions examiner notre propre philosophie.

Qui servons-nous  : Dieu ou l’argent ?

Est-il plus important d’acquérir des biens pour aujourd’hui que de faire confiance à Dieu pour demain ?

Jésus nous a dit clairement que nous devions accumuler des trésors dans le ciel, et nons des bricoles terrestres.

Que gardons-nous avec le plus grand soin : notre argent ou notre vie ?

Plus d’un homme donne sa vie en échange d’une fortune.