A propos du Titanic

Depuis quelques temps, on réactualise la catastrophe qui a endeuillé la marine britannique et causé en ce mois d’août 1912 une profonde émotion dans le monde entier : celle du Titanic.

Les journaux, les illustrés, les films, vidéos, livres se sont multipliés pour remettre en mémoire le sombre drame qu’a connu ce géant des mers, en route vers le Nouveau monde.

Par suite d’une collision avec un iceberg géant, il sombre en quelques heures, entraînant avec lui 1500 passagers dans les eaux glacées de l’Atlantique nord.

Près de 75 ans plus tard, on le redécouvrit brisé en deux, gisant par près de 4000 mètres de fond.

Qu’est-ce qui a bien pu présider à cette catastrophe ?

L’orgueil humain !

Déclaré insubmersible, on est allé jusqu’à dire que Dieu Lui-même n’arriverait pas à le couler ! Quel blasphème !

C’est ce que fit remarquer une passagère en s’écriant : « C’est un défi jeté à la face de Dieu ! »

On connaît la suite, hélas !

Quelqu’un a dit : « Ce fut la mort brutale et la fin d’un rêve très cher de l’âge d’or »…

Ils s’en allaient tous vers le « Nouveau monde », certains pour s’y implanter, mais hélas combien y arrivèrent ?

Amis voyageur sur la mer de ce monde, êtes-vous prêts pour la grande traversée de la vie ?

Mais sur quel bâteau êtes-vous ?

Nous, rachetés du Seigneur, nous voguons sur un sûr esquif, non pas vers un nouveau monde, mais ves un Monde nouveau, le Royaume de Dieu, que le Seigneur nous a promis en y allant Lui-même nous préparer une place.

Amis, faites-vous partie de ce groupe de voyageurs en route pour la terre promise, le Ciel de gloire, la félicité éternelle ?

Jésus-Christ, le Fils de Dieu, depuis la Croix du Calvaire sur laquelle Il fut cloué, vous ouvre tout grands les bras pour vous accueillir à Son bord.

Alors, n’hésitez plus, venez avec nous.

« Flots mugissants, flots en furie, entourez-moi je n’ai pas peur ;
 Et vous, récifs, écueils, menaces qui présagez plus d’un malheur,
 Calme, je puis vous voir en face puisqu’à la barre j’ai mon Sauveur, 
Le gouvernail de ma nacelle, oh ! quel repos, Jésus le tient.
 Si dans la nuit mon coeur chancelle, avec Jésus oui tout est bien ».