Comparaisons

« Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints en vue de l’oeuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ, afin que nous ne soyons plus des enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction, mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. » (Ephésiens 4:11-15)

Nous ne pouvons guère nous empêcher de faire des comparaisons. Tout dépend à travers quelles lunettes nous les faisons. L’envie et la jalousie sont le fruit de comparaisons qui nous font voir l’autre comme était plus favorisé que nous-même.

A défaut de grandeur d’âme, la sagesse la plus élémentaire nous invite à considérer d’abord nos propres avantages.

Un dicton indien rapporte cette pensée : « Je pleurais parce que j’avais perdu mes chaussures, quand j’ai rencontré un homme qui n’avait plus de pieds. »

L’ingratitude est la lèpre que nous ronge, tandis que la reconnaissance donne un regain de joie de vivre, comme David dans le Psaume 8:4-5 qui réalise ceci : « Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées : Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? »