L’ancre de l’âme

Il y a si souvent des tempêtes dans la vie : accidents, deuils, maladies, chômage sont comme des vents contraires qui ont tendance à nous destabiliser.

Mais l’espérance du chrétien est semblable à une ancre, sûre et solide.

Comparée à elle, les espoirs que nous pouvons mettre dans les aides humaines peuvent se comparer à un roseau cassé perçant la main de quiconque s’appuie dessus.

Où trouver ailleurs de telles certitudes ?

Peut-on être tranquille et rassuré face à l’avenir économique
qui s’annonce peu brillant ?

Que penser des religions qui changent constamment, des amours qui se glacent, de la santé qui se détériore et des découvertes scientifiques
qui parfois nous inquiètent ?

Espérer en Dieu, c’est voir, par la la foi, la réalité de Dieu ; c’est avoir la certitude qu’Il nous attend dans Son ciel. Si l’espérance de l’incroyant est aussi peu résistante que la toile d’une araignée (Job 8:14), c’est parce que seul Dieu connaît l’avenir et que si vous êtes son enfant, Il vous assure de son salut et de la place qu’Il a préparée pour vous.

Oui, cette ancre est solide et si vous le Lui demandez, personne ne pourra vous ôter de Sa main. Elle va au-delà du voile, nous transporte déjà dans le Royaume du Dieu vivant, dans cet avenir dont les croyants ne doivent plus avoir peur.