Le scaphandrier et la pieuvre

En Afrique du Sud, dans le port du cap, John Palmer, le scaphandrier est au travail à une certaine profondeur sur une épave.

Mais voilà qu’une pieuvre géante s’approche. Ses tentacules vont s’enrouler autour du scaphandre, et bientôt la position du scaphandrier sera critique.

Que faire ? Essayer de résister ? Ce serait inutile.

Alors Palmer tire le câble qui le relie au bateau de son patron. C’est le signal convenu pour la remontée. Le chef de l’entreprise a compris. Peu à peu, au fur et à mesure que John Palmer approche de la surface, l’étreinte de la pieuvre géante se desserre.

Quelques minutes, le scaphandrier est sauvé, en totale sécurité. Pour cela, il n’a eu qu’à tirer le câble qui le reliait à son chef qui se tenait là-haut.

Il se peut que nous l’ayons oublié alors que l’épreuve nous étreint : nous avons en haut quelqu’un qui veille sur nous et qui est tout disposé à venir à notre secours lorsque le danger nous menace. C’est le Seigneur. C’est à nous de lui faire appel. Il ne manquera pas de nous délivrer. Il nous l’a promis.

Mais, d’autre part, plus tentaculaire encore qu’une pieuvre géante, notre péché résultant de l’action oppressante de Satan sur nous, risque de nous conduire à la perdition et à la mort. Pour en être délivré, il n’y a rien d’autre à faire que d’appeler au secours de notre Dieu qui veille sur nous et de nous adresser à Lui par la PRIÈRE. Jésus est notre Sauveur.

« Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10:13)