« Mais notre cité à nous est dans les cieux, d’où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu’il a de s’assujettir toutes choses. » (Philippiens 3:20-21)
En haut de la page « environnement » d’un magazine s’étale un gros titre : « Nous sommes tous citoyens de la terre ».
Suit un article dans lequel il est question de la catastrophe de Tchernobyl, de la maladie de la vache folle et de la déforestation intensive.
L’auteur veut sensibiliser le lecteur aux conséquences de la pollution et au danger de l’exploitation abusive des ressources naturelles.
Ainsi les hommes s’efforcent-ils maintenant de conjurer les graves problèmes de pollution, au risque d’ailleurs d’en voir surgir de plus angoissants encore.
Protéger notre environnement est un but louable !
La nature et son merveilleux fonctionnement ne sont-ils pas une preuve de l’immense bonté de Dieu qui a cherché le bien de sa créature ?
Mais le gâchis que l’homme en fait n’est-il pas la preuve de son opposition à la pensée de son Créateur ?
Le chrétien n’est pas indifférent aux problèmes écologiques.
Appliquons-nous à être sobres dans la consommation et respectueux de la nature.
Pourtant nous avons une autre patrie : le ciel.
Nous attendons d’y être en compagnie de celui qui nous a aimés jusqu’à donner Sa vie pour nous.
Cette patrie, personne ne peut la polluer.
Si vous êtes exclusivement citoyen de cette terre, votre espérance se limite à cette planète.
Mais aujourd’hui vous est proposée une espérance d’une autre dimension : Jésus-Christ vous invite à saisir l’avenir céleste que Lui-même a préparé.
Apprenez à Le connaître comme Celui qui a vaincu le mal sous toutes ses formes.