Les chrétiens et les non-chrétiens savent que « tout dépend pour eux du temps et des circonstances » (Ecclésiaste 9/11).
Nous manquons très vite de temps.
D’ailleurs, nous sommes vulnérables à ce que l’auteur de l’Ecclésiaste appelle les « circonstances », l’inattendu.
Le coureur le plus rapide peut perdre la course. Le plus fort peut être vaincu dans une bataille. N’importe qui peut être frappé de pauvreté. Nul n’est certain d’être encore vivant demain.
La question qui se pose dès lors est la suivante : Comment vais-je réagir devant cette sombre réalité ?
- Ceux qui ne sont pas sauvés réagissent comme ce jeune pilote en Angleterre pendant la Seconde Guerre mondiale. Il dépensait tout son argent pour boire et pour les femmes. Il disait : « Je vais en profiter le plus possible chaque nuit de ma vie. Il se peut que je soit tué lors de ma prochaine mission ».
- D’autres prennent peur et perdent la joie de vivre.
Les deux réactions sont mauvaises
Dieu veut qu’en tant que chrétiens nous acceptions chaque instant de nos vies comme un cadeau venant de Lui, et que nous soyons toujours remplis de la joie de vivre.
C’est ce que nous conseille l’auteur de l’Ecclésiaste. Le verset 7 signifie que nous n’avons rien à faire pour mériter la faveur de Dieu, parce qu’Il nous a déjà accepté. Par conséquent, nous pouvons jouir de la vie.
Oui, ceux qui ne sont pas sauvés se nourrissent, mais avec un sentiment de désespoir. Les chrétiens, quant à eux, peuvent jouir d’un divin festin parce qu’ils sont assurés d’aller au ciel.