2 Corinthiens 9/8 : « Et Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne oeuvre. »
Il y a longtemps que je marchais sur l’autoroute de la vie. Un jour, j’ai vu une enseigne où était inscrit « Épicerie du ciel ».
Alors que je m’approchais, la porte était grande ouverte. Et quand je suis revenu à moi-même, je me tenais à l’intérieur du magasin. J’ai vu une foule d’anges. Ils étaient partout.
L’un d’eux m’a tendu un panier et m’a dit : « Mon enfant, fais tes achats avec soin. Et pour ce que tu ne pourrais pas emporter, tu peux revenir et en reprendre ».
Premièrement, j’ai pris de la PATIENCE. L’AMOUR se trouvait dans le même rayon. Plus loin se trouvait la COMPRÉHENSION, on en a besoin partout où l’on va. J’ai pris une ou deux boîtes de SAGESSE, un sachet ou deux de FOI. Je ne pouvais omettre le SAINT-ESPRIT car il se trouvait partout.
Je me suis arrêté pour prendre de la FORCE et du COURAGE pour m’aider à courir la course. Mon panier se remplissait mais je me suis rappelé que j’avais besoin d’un peu de GRÂCE. Je n’ai pas oublié le SALUT, car il était gratuit. Alors, j’ai essayé d’en prendre assez pour me sauver, toi et moi.
Alors, je me suis dirigé vers le comptoir pour payer ma facture. Je pensais que j’avais tout pour faire la volonté de mon Maître. Alors que je marchais dans l’allée centrale, j’ai vu la PRIÈRE, et j’en ai pris. Car je savais que lorsque je ressortirais, je marcherais droit vers le péché.
La PAIX et la JOIE se trouvaient en abondance. Ils étaient sur la dernière étagère. Le CHANT et la LOUANGE était là devant moi, alors je ne pu m’empêcher d’en prendre..
Alors, j’ai dit à l’ange : « Combien dois-je ? ». Il a souri et m’a dit : « Prends-les simplement partout où tu vas ».
J’ai souri et ai encore dit : « Combien dois-je réellement ? ». Il a souri de nouveau et m’a dit : « Mon enfant, Jésus a payé ta dette il y a très longtemps ».
1 Pierre 1/18-19 : « Sachant que ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache ».