« Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. Ils lui répondirent : Nous sommes la postérité d’Abraham, et nous ne fûmes jamais esclaves de personne ; comment dis-tu : Vous deviendrez libres ? En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l’esclave ne demeure pas toujours dans la maison ; le fils y demeure toujours. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres ». (Jean 8:32-36)
Les jeunes disent parfois : « La génération de nos parents a été entravée par trop de contraintes comme la religion, l’autorité des parents, la hiérarchie, la morale. Brisons ces chaînes et vivons libres ! »
Vous croyez vous libérer des préjugés, des tabous, des maîtres ? En réalité, vous vous livrez à Satan, ce manipulateur habile qui, comme un marionnettiste, tire sur des fils qui vous font agir et courir : désordre de toute sorte, argent mal gagné, liberté sexuelle, ambition sans scrupule. Il vous entraîne par de mauvais désirs.
L’aboutissement de ce chemin ?
C’est l’éloignement de Dieu et la mort éternelle.
- La Bible raconte l’histoire d’un jeune qui, voulant vivre sa vie, a quitté la maison paternelle. Était-il libre après avoir fermé la porter derrière lui ? Il le crut un moment, en vivant dans la débauche. En réalité, il obéissait, sans le savoir, à celui qui obscurcit les pensées des hommes, c’est à dire du diable. Puis, lorsque survint une famine, Satan, ce maître impitoyable, l’asservit à garder des porcs, et « personne ne lui donnait rien » . Il se souvint de la vraie liberté qu’il avait chez son père, et revint à la maison (lire ce récit du fils prodigue dans Luc 15:11-2411 Il dit encore : Un homme avait deux fils. 12 Le plus jeune dit à son père: Mon père, donne–moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. 13 Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche. 14 Lorsqu’il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. 15 Il alla se mettre au service d’un des habitants du pays, qui l’envoya dans ses champs garder les pourceaux. 16 Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait. 17 Etant rentré en lui–même, il se dit : Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! 18 Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, 19 je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; traite–moi comme l’un de tes mercenaires. 20 Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. 21 Le fils lui dit : Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. 22 Mais le père dit à ses serviteurs : Apportez vite la plus belle robe, et l’en revêtez ; mettez–lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds. 23 Amenez le veau gras, et tuez–le. Mangeons et réjouissons–nous ; 24 car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir.).
Chers jeunes, le bonheur n’est pas dans la satisfaction de tous vos désirs, mais seulement en Jésus-Christ. Par Sa mort et Sa résurrection, Il donne la VRAIE LIBERTÉ à tous ceux qui viennent à Lui : Il délivre du péché, dont Il a détruit les droits sur nous par Son sacrifice à la croix.