« Je vous ai bouleversés, Comme Sodome et Gomorrhe, que Dieu détruisit ; Et vous avez été comme un tison arraché de l’incendie. Malgré cela, vous n’êtes pas revenus à moi, dit l’Eternel… C’est pourquoi je te traiterai de la même manière, Israël ; Et puisque je te traiterai de la même manière, Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu, O Israël ! » (Amos 4:11-12)
« Dans toutes les circonstances de ma vie, j’ai été prévoyant et j’ai toujours pris les dispositions nécessaires. Et voilà que maintenant, je dois mourir sans y être préparé ! » – Ainsi s’exprimait César Borgia à sa mort, à la fin du XVème siècle.
Avant d’entrer dans l’éternité, le cardinal Mazarin s’est écrié : « Mon âme, qu’adviendra-t-il de toi ? Où iras-tu ? »
Winston Churchill, quant à lui, a fait ce triste bilan : « Quel fou ai-je été ! »
Derniers instants révélateurs de la nature humaine.
La mort est tellement effrayante quand la paix de Dieu n’habite pas dans un coeur, qu’on enfouit sa réalité inéluctable au plus profond de la conscience.
Il est de bon ton de ne jamais en parler, ni même de l’évoquer.
Quelle politique de l’autruche !
Un communiste chinois vint un jour trouver un pasteur.
- « J’ai vu mourir beaucoup de gens, lui dit-il, mais les chrétiens meurent autrement. Quel est votre secret ? »
Voulez-vous connaître ce secret-là ?
La paix devant la mort est donnée à celui qui a fait la paix avec Dieu dès ici-bas.
Celui qui est venu s’humilier devant lui et qui a reçu le pardon de son péché, celui-là n’a plus à craindre le jugement de Dieu.
Préparez-vous pour le jour de votre rencontre avec Dieu !