… Eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge et ont vénéré et servi la créature plutôt que celui qui l’a créée. Romains 1:25
Je te célébrerai de ce que j’ai été fait d’une étrange et admirable manière. Psaume 139:14
Dieu a parlé et parle encore aux hommes. A travers les âges et sous toutes les latitudes, la nature témoigne de la puissance et de la sagesse de Dieu.
“Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue annonce l’ouvrage de ses mains” (Psaume 19:1).
“Il a parlé, et la chose a été ; il a commandé, et elle s’est tenue là” (Psaume 33:9).
“C’est par lui que tout a été créé… et tout subsiste par lui” (Colossiens 1:16-17).
Cet univers, aussi merveilleux dans l’infiniment grand que dans l’infiniment petit, parle de la grandeur de son Créateur. Cette puissance divine suscite l’admiration de l’homme, mais souvent il n’en tire pas de conséquences : sa conscience n’est pas atteinte, il ne veut pas écouter.
Cependant Dieu déclare que ce témoignage irréfutable de la nature rend les hommes responsables.
“Depuis la création du monde, ce qu’il y a d’invisible en lui (Dieu), c’est-à-dire à la fois sa puissance éternelle et sa divinité, se discerne au moyen de l’intelligence, d’après les choses créées, si bien qu’ils sont inexcusables” (Romains 1:20).
Ce n’est pas à nous de mesurer le degré de responsabilité de celui qui ne reconnaît pas ce témoignage.
Mais écoutons encore une parole de la Bible : “L’insensé a dit dans son coeur : Il n’y a point de Dieu” (Psaume 53:1).
Nous laisserions-nous aller à cette prétention, nous qui sommes ses créatures ?