Sur chaque paquet de cigarettes et sur chaque affiche de publicité pour le tabac, doivent être imprimés ces mots : « Nuit gravement à la santé » ou « FUMER TUE ». 20 % des fumeurs s’en vont d’un cancer. Malgré cet avertissement, le nombre de jeunes qui risquent leur vie pour un instant de soi-disant bien-être augmente. Vous pouvez dire: « drogue, fumée, alcool, cela ne me concerne pas ».
Ce n’est qu’un exemple de la tactique de Satan, qui fait miroiter un plaisir, un avantage ou le moyen d’affirmer notre liberté. Il est capable de s’adapter à toutes les situations, même en citant la Bible. Nous le voyons avec Jésus où Satan prétend l’aider à mieux accomplir Sa mission (Matthieu 4:1-11).
Il connaît nos points faibles, nos péchés mignons par lesquels il cherche à nous prendre dans ses filets. Bien vite, nous voilà esclaves de nos penchants.
Alors, nous pouvons constater comme l’apôtre Paul : « Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n’est plus moi qui le fais, c’est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l’homme intérieur ; mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ? » (Romains 7:19-24) .
Jésus nous répond : « Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. »
Un seul lieu de victoire, la croix du Christ : reconnaissons-y nos faiblesses et recevons le pardon de Jésus, puis le discernement et Sa force par le Saint-Esprit.