« Comment échapperons-nous en négligeant un si grand salut, qui, annoncé d’abord par le Seigneur, nous a été confirmé par ceux qui l’ont entendu ? » (Hébreux 2/3)
On a beaucoup parlé ces dernières années de la catastrophe du Titanic, ce paquebot majestueux qui a coulé dans l’Atlantique en avril 1912. Bien que le naufrage ait été le résultat d’une succession d’erreurs, la cause principale en a été la négligence et la présomption.
Le capitaine savait qu’il naviguait dans un secteur dangereux où flottaient de nombreux blocs de glace, mais il ne tint pas compte des signaux d’avertissement que lui adressaient d’autres paquebots. Dans la hune de vigie, l’homme de veille n’avait pas signalé l’absence de jumelles qui lui auraient permis d’apercevoir l’iceberg. Il fallait aussi avancer très vite pour démontrer la puissance d’un paquebot réputé insubmersible, merveille de la technique. Une telle négligence, entraînant la perte de centaines de vies, semble aujourd’hui le comble de l’irresponsabilité.
Mais ne sommes-nous pas négligents, nous aussi, en ce qui concerne notre avenir éternel ?
« Le sort de mon âme ? je m’en occuperai plus tard ! »
C’est ce que disait le gouverneur romain Félix, quand l’apôtre Paul, prisonnier, lui parlait d’un jugement à venir : « Pour le présent, va-t’en. Quand je trouverai un moment favorable, je te ferai appeler » (Actes 24/25).
On a peur de la mort, on occulte cette préoccupation, comme si on était immortel ! Pourtant Dieu offre la vie éternelle à quiconque se confie en Jésus.
Permettez-nous de vous dire avec insistance et respect : « Ne négligez pas votre salut. Venez à Jésus dès aujourd’hui ».