Jésus dit : « Mes brebis entendent ma voix ; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. » (Jean 10:27-28)
Nous avons lu dans une police d’assurance : « L’avenir appartient à ceux qui le préparent ». Suit une liste de risques de toutes sortes garantis par cette assurance.
Dans le domaine spirituel, le croyant, qui appartient à Jésus-Christ, a lui aussi une assurance. Il peut affirmer avec l’auteur du Psaume 23 : « L’Eternel est mon berger, je ne manquerai de rien ».
Est-ce que cela signifie qu’il ne connaîtra aucune difficulté de la vie ? Non, bien sûr, mais au milieu même des difficultés de la vie, il sait que son Maître s’est engagé à s’occuper de ce qui le concerne.
Un berger qui mérite le titre de « bon berger » va conduire son troupeau dans des pâturages où herbe fraîche et eau courante sont suffisantes. Il prévoira un abri en cas d’intempéries et d’intrusion de prédateurs. Il veillera enfin sur l’état de santé de chaque brebis et soignera celles qui sont malades. Quels sentiments de sécurité, de paix, de confiance, peut donc éprouver toute brebis de ce troupeau !
Ainsi pour le croyant, les soins fidèles de son Maître sont une réalité, du vécu au quotidien. La « police d’assurance » se signe dans l’instant où il s’est reconnu pécheur et a accepté Jésus-Christ comme son Sauveur. Les garanties couvrent cette vie et au-delà : « Mes brebis… je leur donne la vie éternelle », dit Jésus.
Il n’y a rien à payer : c’est le don gratuit de Dieu. L’offre est pour tous. Mais il faut une démarche personnelle pour en bénéficier.
Quelle sera votre réponse à l’offre qui vous est faite aujourd’hui ?