« Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. » (Romains 5/6,8)
Edouard était en train de faire des mots croisés. Il cherchait un mot de deux lettres correspondant à la définition : « condamné à mort ». Finalement, il ne trouva que le mot : « né ».
La réponse était juste : tout homme qui vient au monde est condamné à mourir un jour – « La mort s’est étendue sur tous les hommes » (Romains 5:12C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché,…).
C’est une réalité à laquelle personne ne peut échapper. Dieu a prononcé cette sentence à cause du péché – « Le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6/23).
Sentence si absolue que même Dieu se manifesta en chair afin de prendre sur Lui la culpabilité de tous nos péchés – « Christ est mort pour nos péchés » (1 Corinthiens 15/3).
Or, c’est précisément par la mort de Jésus-Christ que nous avons la vie éternelle. Nous étions « morts dans nos fautes », Dieu nous a vivifiés, rendus vivants : c’est une relation nouvelle, éternelle avec Jésus ressuscité.
Pour le croyant, la mort n’est pas la fin de tout. Ses péchés ayant été expiés par le sacrifice de Jésus-Christ, il « se repose » jusqu’au grand jour de la résurrection (Apocalypse 14/13).