Fermé

« Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva ; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. Mais il répondit : Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. » (Matthieu 25:10-12)

Une mère chrétienne se désolait parce que son fils ne voulait rien savoir de Jésus-Christ.

Plusieurs fois, des réunions d’évangélisation avaient eu lieu dans leur village.

Mais, il refusait obstinément de s’y montrer : il avait trop peur d’y être vu et que ses amis se moquent de lui.

Or, voilà qu’une réunion analogue avait lieu dans un village voisin où ce risque n’existait pas.

A force d’insistances de la mère, il consentit à l’y accompagner.

La maman était pleine de joie et d’espoir.

Mais, bien qu’ils soient venus largement à l’avance, la salle était déjà pleine.

La police ne laissait entrer plus personne ; elle avait même fait apposer une pancarte sur la porte : « Fermé ».

Imaginez la déception de la mère : avoir tant espéré en vain !…

Non, ce n’était pas en vain, car cette pancarte avec ce seul mot : « Fermé » parla à la conscience du jeune homme plus fort que beaucoup de discours.

L’Esprit de Dieu ranima dans sa mémoire les avertissements qu’il avait entendus dans son enfance.

Il se représentait être à la porte de l’éternité, une porte sur laquelle était marqué : « Fermé ».

Cette pensée ne le lâcha plus.

Il n’eut alors de cesse avant d’avoir trouvé la certitude d’être sauvé et d’être invité à entrer par Jésus, au grand Jour de Sa venue.