Le stress du bigorneau

« Nous sommes pressés de toute manière, mais non réduits à l’extrémité ; dans la détresse, mais non dans le désespoir ; persécutés, mais non abandonnés; abattus, mais non perdus. » (2 Corinthiens 4:8-9)

De très sérieuses études ont été entreprises sur le bigorneau.

Ce petit coquillage familier des côtes bretonnes subit un stress énorme. Deux fois par jour, il se retrouve à sec pour six à huit heures, et deux fois par jour il est recouvert de plusieurs mètres d’eau.

A marée basse, il doit subir le soleil de l’été ou le froid de l’hiver.

A marée haute, il doit affronter les crabes, les vagues et la pression de l’eau.

Quelle vie, direz-vous !

Mais le Créateur l’a conçu pour résister à ces situations.

La foi n’exclut pas les épreuves. Elle peut même déclencher des pressions ou persécutions.

Mais les épreuves propres à la vie chrétienne ne doivent pas nous décourager ou nous empêcher de répondre à l’appel de Jésus-Christ.

Lorsque le stress, l’opposition, le trouble ou l’abattement nous invitent à rentrer dans notre coquille, ne perdons pas courage.

Dieu est fidèle, Il connaît nos limites et contrôle la situation, quelles que soient les apparences.

Il nous promet Sa présence et le renouvellement intérieur jour après jour.