« Et ce n’est pas elle seulement ; mais nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, la rédemption de notre corps. » (Romains 8:23)
C’était en 1972. Jeune étudiant à Paris, j’étais invité par une famille qui accueillait des étudiants.
L’un d’eux, versé en agronomie, prononce le mot « écologie ». Tout le monde se regarde ; personne ne connaît ce terme.
Alors notre ami explique que l’écologie est l’étude des êtres vivants en relation avec leur milieu naturel.
Que de chemin en trente ans ! La notion d’écologie était alors à peine connue, maintenant elle est au premier rang des enjeux mondiaux, politiques, économiques, humains… Plus la pollution de la planète devient évidente, plus nous craignons que la vie naturelle nous échappe, et cela par notre faute.
Mais que dit la Bible ? Depuis longtemps elle affirme que la création a été asservie à la vanité et souffre en attendant la délivrance (Romains 8:20-22Car la création a été soumise à la vanité – non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise – avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement.). L’homme domine la nature, mais pour lui, pour sa vanité.
Sa mission était de « cultiver » et « garder » la terre (Genèse 2:15L’Eternel Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Eden pour le cultiver et pour le garder.), en obéissant à son Créateur. Mais il s’est opposé à Lui et a entraîné la terre sous les effets de sa rébellion. La pollution morale, le péché, précède celle de la planète. Malgré tous les efforts pour rectifier des erreurs, aucune solution n’est possible sans Dieu.
Dieu est plein de bonté pour les humains, et les merveilles contenues dans l’univers en sont une démonstration. Bien plus, Dieu s’est révélé en envoyant Jésus-Christ.
Notre première responsabilité est de Le recevoir comme Sauveur. Lui est « le chemin, et la vérité, et la vie » (Jean 14:6).