Moi je ne suppose jamais rien

Rom 8:37 Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. 38 Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir,  ni les puissances, 39 ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus–Christ notre Seigneur.

Aux États-Unis, vers 1850, une dame toujours soucieuse et triste disait à sa servante noire qui, elle, était toujours sereine et enjouée :

— C’est bien d’être joyeuse. Il me semble pourtant que la question de votre avenir devrait atténuer un peu votre joie. Supposons que vous tombiez malade, supposons que vos employeurs déménagent et que personne ne vous donne du travail… supposons que…

— Moi j’ne suppose jamais rien, Madame, s’écria la domestique. Le Seigneur est mon berger. Moi, j’ne manquerai de rien. Tous ces « supposons » vous rendent si triste. Vous devez bien mieux les laisser là et avoir confiance au Seigneur.

Et dire que cette patronne se disait croyante. Mais c’était sa servante qui avait la vraie foi.

Fondés sur les promesses de la Bible et sur l’œuvre accomplie par Jésus-Christ en leur faveur, les chrétiens véritables peuvent dire : « Je sais… j’ai l’assurance… je suis persuadé… J’ai la certitude… »