« Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais prenez courage, j’ai vaincu le monde. » (Jean 16:33)
Vous est-il déjà arrivé de rencontrer un jeune d’une vingtaine d’année qui vous demande, les yeux dans les yeux : « Et toi, pourquoi tu vis ? »
Ce jour-là, c’est un choc, la question s’impose dans sa brutalité et sa franchise : est-ce que je sais moi-même pourquoi je vis ?
Peut-être es-tu comme ce jeune, en proie à des interrogations angoissantes ?
Tu n’as surtout pas besoin qu’on cherche à te rassurer faussement, car tu as toi-même déjà beaucoup réfléchi, et tu as bien compris la vanité de tant de choses.
Essaie alors de te mettre à la place de l’aveugle Bartimée, au temps de Jésus.
Assis au bord du chemin, n’ayant aucun moyen de subsistance, il mendie pour pouvoir manger.
Et voilà qu’une foule s’approche, entourant Jésus qui passe.
Dans un élan de désespoir, Bartimée crie à Jésus d’avoir pitié de lui ; il crie jusqu’à ce que Jésus l’entende, le fasse approcher, lui parle et le guérisse.
Si tu ne vois pas de sens à ta vie, tu es comme Bartimée.
Mais tu as la même resource que lui : crier à Jésus.
Jésus t’endend et veut te faire approcher : Aie bon courage.
Il est venu dans ce monde afin de nous donner le courage de vivre.
La question n’est plus : « Pourquoi vis-tu ? » mais : « Pour qui vis-tu ? »
Tu peux vivre le reste de tes jours avec Jésus, pour lui, ayant fait le constat de tes profonds besoins, mais aussi de Son amour immense et de Ses compassions : c’et son projet pour toi.
Alors, Tu l’entendras te dire : « Aie bon courage, mon enfant, tes péchés sont pardonnés ».