Mai 2001 : La romancière américaine Barbara Cartland décède, âgée de 98 ans après avoir produit 700 titres littéraires traduits en 36 langues et qui ont rapporté une fortune colossale à leur auteur.
Dans ses derniers jours, assise dans son lit, elle dictait encore des textes à sa secrétaire.
Belle performance pour un seul auteur ; peut-être même un record !
La Bible est constituée de 66 livres différents ; 40 auteurs ont participé à sa rédaction.
La performance est moins brillante, semble-t-il, que celle de Mme Cartland.
Par contre, la Bible, traduite en plus de 2000 langues et dialectes, est lue par des gens du monde entier jusque dans les endroits les plus reculés de la planète.
Ses écrivains n’ont pas touché le moindre droit d’auteur.
Qui les leur auraient payés ?
Mais quel impact !
Par la Bible, des âmes ont été consolées, fortifiées, sauvées de la perdition et gagnées à la cause de Jésus-Christ.
Pourquoi ?
Parce que « ce n’est pas par une volonté d’homme qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu » (2 Pierre 1:21) et « Ces choses ont été écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie en son nom » (Jean 20:31).
Voici des millénaires que la Bible est lue, méditée, enseignée, crue.
Par combien de personnes Mme Cartland sera-t-elle encore lue dans 50 ans ?
Et avec quel profit autre que la distraction ?
La Parole de Dieu demeure éternellement, et elle sera encore ouverte au jour du jugement dernier.