Un vieux fermier avait jadis reçu plusieurs fois la visite d’un agent d’assurances qui lui proposait une assurance contre l’incendie :
- Non, répondit-il invariablement en secouant la tête d’un air entendu. Ma ferme, à moi, ne brûle pas.
Mais un jour, le feu éclata dans l’étable.
Les voisins, ahuris, virent le fermier courir dans les rues du village au lieu d’aider à éteindre les flammes.
Il ne cessait de crier :
- A moi ! Au secours ! Où est donc cet imbecile d’agent d’assurances ? C’est quand on en a besoin qu’on ne le trouve pas…
On peut hausser les épaules en pensant à la stupidité de ce vieux fermier.
Mais que dire de tant de personnes qui pensent ne pas avoir besoin de Dieu et qui ne veulent aucunement confier leur vie à Jésus.
Il viendra un temps où ce sera trop tard.
Le Seigneur nous offre le pardon de nos péchés et la vie éternelle ; il nous propose d’entrer dans le repos de la foi.
A chacun de nous, il appartient de réponse à Son appel, sinon, un jour, il n’en sera plus temps.
Jésus a pleuré sur le destin de la ville de Jérusalem, cette ville qui a refusé de le recevoir comme étant le Messie, le Sauveur.
Elle n’a pas reconnu le temps où elle a été visitée, et a été incendiée et détruite par les Romains en l’an 70.
Tout ce que Dieu attend de nous, faisons-le sans tarder.
Ne repoussons pas à plus tard ce qu’il nous demande de faire aujourd’hui.