Dans deux jours, c’est la fête des mères. En dehors du côté très commercial de cette fête, il est bon de célébrer les mères pour ce qu’elles sont, tout comme pour leur dévouement.
On n’a qu’une maman, et elle est irremplaçable. Lorsqu’un drame survient, et qu’elle est emportée par la maladie ou l’accident, qu’elle ait été contrainte pour une raison ou une autre d’abandonner son enfant, ce dernier en sera marqué et aura un manque indélébile.
Son dévouement est sans pareil, elle a en elle un esprit de sacrifice. Elle se lève la nuit ou se prive de nourriture pour que son enfant soit heureux.
Il y a une très belle illustration de l’amour d’une mère dans 1 Rois 3/26-27 : « Alors la femme dont le fils était vivant sentit ses entrailles s’émouvoir pour son fils, et elle dit au roi : Ah ! mon seigneur, donnez-lui l’enfant qui vit, et ne le faites point mourir. Mais l’autre dit : Il ne sera ni à moi ni à toi ; coupez-le ! Et le roi, prenant la parole, dit : Donnez à la première l’enfant qui vit, et ne le faites point mourir. C’est elle qui est sa mère ».
Si vous le pouvez encore, honorez votre mère ; sinon, rien ne vous empêche d’honorer une autre femme qui se comporter comme une mère pour les autres.